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Modder Nintendo Switch arrêté dans la répression sur le piratage du jeu vidéo

Auteur : Nova Feb 23,2025

Les autorités japonaises effectuent une arrestation historique dans la lutte contre le piratage du jeu Nintendo Switch. Pour la première fois, un suspect a été appréhendé pour la modification des consoles de commutation pour jouer à des jeux piratés.

Selon NTV News, un homme de 58 ans a été arrêté le 15 janvier pour avoir enfreint la loi sur les marques du Japon. L'individu aurait modifié les consoles de commutation utilisées en soudant des composants modifiés sur les cartes de circuits imprimés, permettant l'exécution de jeux copiés illégalement. Chaque console modifiée, préchargée avec 27 titres piratée, aurait été vendue pour 28 000 ¥ (environ 180 $).

L'accusé a avoué les accusations, et des enquêtes sont en cours pour déterminer l'étendue de son implication dans de nouvelles activités illégales.

Cette arrestation met en évidence la bataille en cours entre les éditeurs de jeux vidéo et le piratage. Nintendo, une cible fréquente, a lancé un avis de retrait en mai 2024 affectant 8 500 exemplaires de l'émulateur de commutateur Yuzu, après l'arrêt de l'émulateur deux mois auparavant. Leur procès antérieur contre le créateur de Yuzu, Tropic Haze, a cité plus d'un million de copies piratées de la légende de Zelda: Tears of the Kingdom avant sa libération officielle.

L'action en justice contre le piratage s'intensifie. Des cas réussis antérieurs incluent des poursuites contre Romuniverse, entraînant plus de 14 millions de dollars de dommages-intérêts à Nintendo. Les efforts de Nintendo se sont également étendus pour empêcher la libération de l'émulateur de dauphin sur Steam.

Récemment, un avocat des brevets de Nintendo a mis en lumière la stratégie anti-piratage de l'entreprise. Koji Nishiura, directeur adjoint de la Division de la propriété intellectuelle, a souligné la légalité ambiguë des émulateurs eux-mêmes, soulignant que leur utilisation, plutôt que leur existence, détermine leur illégalité.

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